collectionner exposer. une histoire de la mode
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La présentation de la collection permanente est utilisée comme un moyen de raconter le Palais Galliera et son activité.
Nous souhaitons qu’à la découverte de la collection, le visiteur se projette dans la vie du musée qui se compose d’une multitude d’éléments, notamment :
– la collection, son histoire, l’accumulation, le stockage, la conservation ;
– l’étude, le regard porté sur le vêtement ;
– le travail de présentation des vêtements, la transmission.
Ces activités sont mises en scène comme un travail en cours, une activité ininterrompue et vivante, non figée, non solennelle, susceptible de se renouveler en permanence. Pour cela, nous avons utilisé le vocabulaire formel propre au musée, à ses réserves, et au travail de présentation. Les formes sont inspirées d’objets réels tels que podiums, caisses, cadres, supports, mais épurés jusqu’à l’état d’un archétype, travaillés en juxtaposition et accumulations.
Nous nous sommes également attachés à respecter le caractère
et la géométrie de ce nouveau lieu dédié à la présentation de la collection du musée, à le mettre en valeur, avec l’intention de donner une véritable identité au Palais. Le dispositif général devient le négatif de l’édifice comme le vêtement est le positif du corps (ou l’inverse…)
Couleurs et lumières viennent soutenir et rendre visible la chronologie de parcours. Le fil chronologique du parcours est ponctué de séries thématiques qui s’adressent autant au néophyte ayant besoin d’être guidé qu’au public avisé.
La scénographie est une succession de tableaux uniques reprenant les codes établis, avec des typologies en lien avec l’art de l’exposition, jusqu’à l’épuisement du décor qui disparaît au profit de la silhouette et l’art de la conservation. Elle retrace ainsi une autre histoire de la mode, celle du regard.
Nous souhaitons qu’à la découverte de la collection, le visiteur se projette dans la vie du musée qui se compose d’une multitude d’éléments, notamment :
– la collection, son histoire, l’accumulation, le stockage, la conservation ;
– l’étude, le regard porté sur le vêtement ;
– le travail de présentation des vêtements, la transmission.
Ces activités sont mises en scène comme un travail en cours, une activité ininterrompue et vivante, non figée, non solennelle, susceptible de se renouveler en permanence. Pour cela, nous avons utilisé le vocabulaire formel propre au musée, à ses réserves, et au travail de présentation. Les formes sont inspirées d’objets réels tels que podiums, caisses, cadres, supports, mais épurés jusqu’à l’état d’un archétype, travaillés en juxtaposition et accumulations.
Nous nous sommes également attachés à respecter le caractère
et la géométrie de ce nouveau lieu dédié à la présentation de la collection du musée, à le mettre en valeur, avec l’intention de donner une véritable identité au Palais. Le dispositif général devient le négatif de l’édifice comme le vêtement est le positif du corps (ou l’inverse…)
Couleurs et lumières viennent soutenir et rendre visible la chronologie de parcours. Le fil chronologique du parcours est ponctué de séries thématiques qui s’adressent autant au néophyte ayant besoin d’être guidé qu’au public avisé.
La scénographie est une succession de tableaux uniques reprenant les codes établis, avec des typologies en lien avec l’art de l’exposition, jusqu’à l’épuisement du décor qui disparaît au profit de la silhouette et l’art de la conservation. Elle retrace ainsi une autre histoire de la mode, celle du regard.