jean lurçat. l’éclat du monde
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Nous avons choisi de ne pas cloisonner la salle pour que les oeuvres de grandes dimensions puissent dialoguer entre elles et qu’elles soient présentées dans leur situation initiale (sur les murs périphériques dans de grandes salles ou en mur courbe pour la chapelle).
Accrochées en périphérie de la salle, elles sont le fil conducteur de l’exposition.
Pour créer une perméabilité visuelle, les autres aménagements sont de faible hauteur.
Un jeu de panneaux glissants entre les verticales (cimaises) et les horizontales (vitrines-tables, assises). Nombre d’assises positionnées parallèlement aux tapisseries et cartons offrent aux visiteurs le temps de contemplation nécessaire pour parcourir la richesse de ces oeuvres.
Cette mise en scène est soutenue par la répartition des couleurs : une périphérie obscure pour des éléments centraux clairs.